pel, Klaus Franz, Bruno Vitali, le responsable du secteur automobile de la Fim-Cisl, et Enzo Masini, le coordinateur automobile de la Fiom-CGIL. Confirmant les pires craintes de syndicats transalpins, les syndicalistes allemands ont décrit les plans présentés par Fiat en Allemagne. Suite à l’achat d’Opel, Fiat procéderait à la restructuration de l’établissement de Pomigliano d’Arco (région de la Campanie) et à la fermeture de celui de Termini Imerese (Sicile). Les fermetures et les réductions d
…Fiat-Opel : les syndicats italiens et allemands unis contre les suppressions de postes en cas de rapprochement entre les deux constructeurs
Une rencontre chapeautée par la FEM. Organisée par la Fédération européenne des métallurgistes (FEM) avec les syndicats des pays concernés par la présence de Fiat et de General Motors Europe, la rencontre de Francfort, au siège du syndicat IG Metall, qui s’est déroulée mercredi 13 mai, a réuni notamment le président du CE central d’Opel, Klaus Franz, Bruno Vitali, le responsable du secteur automobile de la Fim-Cisl, et Enzo Masini, le coordinateur automobile de la Fiom-CGIL. Confirmant les pires craintes de syndicats transalpins, les syndicalistes allemands ont décrit les plans présentés par Fiat en Allemagne. Suite à l’achat d’Opel, Fiat procéderait à la restructuration de l’établissement de Pomigliano d’Arco (région de la Campanie) et à la fermeture de celui de Termini Imerese (Sicile). Les fermetures et les réductions des effectifs devraient concerner également d’autres établissements européens. En Allemagne, IG Metall craint notamment « la suppression de près de 8000 postes » a déclaré Klaus Franz à l’agence de presse italienne, Ansa.
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