Selon une étude de Ernst and Young Item Club, parue ce week-end dans la presse, l'afflux des travailleurs issus des nouveaux Etats membres de l'UE a contribué à réduire l'inflation, amélioré la productivité, rajeuni et rendu la main d'oeuvre plus mobile, et augmenté les recettes fiscales. La disponibilité de ces salariés a aussi fourni aux employeurs l'opportunité de minimiser les hausses de salaire. En contrepartie, le marché de l'emploi serait plus difficile pour les Britanniques. (Réf. 06402)
Compte tenu de tous ces effets positifs, l’immigration des pays de l’Est est, selon l’étude de Ernst and Young Item Club, un « élixir » pour l’économie britannique.
L’étude a chiffré leur contribution au PIB à 2 milliards de livres (2.9 millards d’euros) et table sur 4 milliards l’an prochain, 6 en 2008-2009. Ces immigrés ont aussi apporté 300 millions de livres de recettes fiscales au Trésor (soit près de 43 millions d’euros).
L’immigration nette au Royaume-Uni a battu un record en 2004 (dern
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