C’est le deuxième coup dur pour la région des Midlands, juste un an après la fermeture de Rover à Longbridge et la suppression de 6 000 emplois. Même s’il s’agit d’un groupe français, cette nouvelle semble sceller la mort de l’industrie automobile britannique, longtemps fleuron de l’économie nationale et qui n’est plus rentable aujourd’hui.
Peugeot a invoqué « des coûts de production et de logistique élevés qui ne permettent pas de justifier les investissements nécessaires à la production...