“Le groupe Generali a une tradition d’accords-cadre sur l’emploi, mais jusqu’à présent ces accords avaient toujours été liés à des réorganisations suite à des fusions”, explique Patrizia Sushmel, qui fait partie de la direction nationale du syndicat UILCA. “Quand l’accord précédent est arrivé à échéance, Generali ne voulait pas le renouveler, justement parce qu’il n’y avait pas de situation qui l’imposait. Or, nous avons réussi non seulement à renouveler l’accord (valable jusqu’au 30 juin 2014 ndlr), mais aussi à l’améliorer”, poursuit la syndicaliste. Le texte comprend quatre points. Le premier pose le principe de base: les emplois en Italie seront maintenus et le groupe s’engage à ne pas recourir à des licenciements secs s’il doit supprimer des postes. Il lui faudra donc appliquer des procédures ‘soft’, notamment les primes pour les départs volontaires ou le recours aux Fonds de solidarité du secteur (en Italie le secteur des assurances ne bénéficie pas de la Cassa Integrazione, le traditionnel système italien de protection contre le chômage).
Publication
25 juin 2012 à 10h34
Mis à jour le 25 mars 2013 à 11h26
Temps de lecture
6 minutes
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25 juin 2012 à 10h34, Mis à jour le 25 mars 2013 à 11h26
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quatre points. Le premier pose le principe de base: les emplois en Italie seront maintenus et le groupe s’engage à ne pas recourir à des licenciements secs s’il doit supprimer des postes. Il lui faudra donc appliquer des procédures ‘soft’, notamment les primes pour les départs volontaires ou le recours aux Fonds de solidarité du secteur (en Italie le secteur des assurances ne bénéficie pas de la Cassa Integrazione, le traditionnel système italien de protection contre le chômage).
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