La majorité des travailleurs de Telecom Italia qui ont participé au référendum ont rejeté l’accord, conclu avec les syndicats SLC-CGIL, Fistel-Cisl, UIlcom-UIl, qui introduisait un nouveau modèle visant à assurer la qualité du service aux clients via le développement des compétences des salariés de ces services. Pour les opposants à l'accord, ce modèle ouvrait la voie au contrôle à distance des travailleurs. Une partie des représentants de la SLC et la totalité de ceux du syndicat autonome USB, entré en novembre dernier dans les instances de représentation du personnel de Telecom Italia, ont fait campagne contre cet accord.
Un accord controversé. L’accord en cause avait été négocié suite au travail d’examen des mesures prévues par l’accord cadre du 27 mars 2013 (v. dépêche n° 130229) sur la réorganisation des services clients, pour vérifier si elles étaient suffisantes pour mettre un terme à l’externalisation. Pour cette nouvelle négociation, l’entreprise souhaitait mettre en place un nouveau modèle organisationnel associant la productivité des travailleurs à la qualité du service aux clients afin d’éviter l’exter
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