« Une loi de stabilité pour l’emploi et la croissance » : c’est le titre du document signé le 2 septembre par le patron de Confindustria, Giorgio Squinzi, et les leaders des syndicats CGIL, Cisl et Uil, Susanna Camusso, Raffaele Bonanni, et Luigi Angeletti. C’est la première concrétisation du « pacte entre les producteurs » (patronat et travailleurs) pour sortir de la crise, évoqué au printemps dernier par le leader de Confindustria, instigateur de cet accord, qui réunit les revendications syndicales et patronales dans un seul cadre commun. (Réf. 130523)
Appelant le gouvernement à maintenir ses engagements réitérés sur le travail (v. dépêche n°130293), ils indiquent leurs priorités, lui demandant « une confrontation permanente avec les forces sociales » et « un engagement précis dans les mois prochains, à partir de la loi de stabilité » en cours de définition.
Les politiques fiscales. Détaillant les problèmes de la fiscalité italienne « qui étrangle la croissance », les signataires renouvellent leurs propositions, défendues jusque-là...
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