15 milliards de dollars (12 400 milliards d’euros) au cours des 2 prochaines années. C’est l’enveloppe avancée par le gouvernement britannique pour financer des entreprises et des services favorisant l’intégration des femmes sur le marché du travail dans les pays en développement. Cet engagement a été mis sur la table lors de la réunion des ministres des Affaires étrangères et du Développement du G7, qui se tient à Londres du 3 au 5 mai sous la présidence du Royaume-Uni, afin de travailler sur des réponses conjointes aux menaces mondiales. « Cette année, alors que nous nous engageons dans une reconstruction pour le mieux après la pandémie, le Royaume-Uni entend placer les droits des femmes et des filles au centre de la présidence du G7, en union avec des pays qui partagent nos valeurs« , a-t-il souligné dans une note publiée par le ministère des Affaires étrangères. Faciliter leur accès au marché du travail « servira à transformer la fortune non seulement des individus, mais de communautés et de nations entières« , a-t-il ajouté. Le but du programme étant de « soutenir l’autonomisation économique des femmes« . Outre les membres du groupe des 7 pays les plus développés qui regroupe les Etats-Unis, le Royaume-Uni, l’Allemagne, la France, le Japon, l’Italie et le Canada, Dominic Raab, le ministre britannique des Affaires étrangères, a également convié aux débats les ministres d’Australie, d’Inde, d’Afrique du Sud et de Corée du Sud.
Le droit des femmes au centre de la présidence du G7
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