Jeroen van der Veer, le PDG de Shell, arrive toujours en tête, avec 8,7 millions d’euros (contre 9,4 millions en 2007), suivi par Ad Scheepbouwer de KPN, la principale société de télécommunications, avec 7,8 millions et Nancy Mc Kinstry, du groupe d'édition Wolters Kluwer, 5,6 millions. La baisse est due à la dégringolade des primes, elle-même provoquée par la crise économique et la récession. Les primes accusent une baisse de 32 % en 2008 et tournent désormais autour d’une moyenne de 813000 euros. Quant aux profits engrangés par les PDG grâce à leurs actions dans leur propre société, ils ont baissé de 29% et ramenés à une moyenne de 962000 euros. Feije Sijbesma, du groupe DSM, a bénéficié de la plus forte augmentation en 2008 (+ 130%), ses actions ayant porté son revenu annuel à 2,5 millions d’euros. En revanche, le PDG de l’agence d’intérim Randstad a vu ses revenus chuter de 57%, faute d'avoir réalisé des profits sur ses stock options.
Publication
15 avril 2009 à 06h26
Mis à jour le 28 avril 2013 à 18h34
Temps de lecture
2 minutes
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15 avril 2009 à 06h26, Mis à jour le 28 avril 2013 à 18h34
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rs actions dans leur propre société, ils ont baissé de 29% et ramenés à une moyenne de 962000 euros. Feije Sijbesma, du groupe DSM, a bénéficié de la plus forte augmentation en 2008 (+ 130%), ses actions ayant porté son revenu annuel à 2,5 millions d’euros. En revanche, le PDG de l’agence d’intérim Randstad a vu ses revenus chuter de 57%, faute d’avoir réalisé des profits sur ses stock options.
Un examen minutieux des rémunérations. La tendance aux Pays-Bas reste à l’examen minutieux des revenus
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