Depuis le 1er avril, les entreprises frappées par la crise peuvent placer leurs salariés en chômage partiel, jusqu’à la moitié de leur temps de travail, pour des périodes de trois mois renouvelables deux fois (v. dépêche n° 090340). Les employeurs versent alors 50% de la rémunération, tandis que l’assurance-chômage prend le relais pour le reste. La FNV et Alliés demande que les employeurs portent leur contribution à 65% des salaires, pour que les salariés puissent conserver la même couverture sociale et les mêmes cotisations à la retraite. En outre, la FNV et Alliés exige que les salariés puissent rester dans l’entreprise pour une durée minimale de 26 semaines après leur chômage partiel, au lieu de 12 semaines dans l’accord négocié fin mars par les partenaires sociaux. La FNV et Alliés, surtout active dans l’industrie, explique que les salariés ne doivent pas être pénalisés par le chômage partiel : ils doivent pouvoir cotiser suffisamment, pour avoir droit à une indemnisation normale du chômage, en cas de licenciement.
12 semaines dans l’accord négocié fin mars par les partenaires sociaux. La FNV et Alliés, surtout active dans l’industrie, explique que les salariés ne doivent pas être pénalisés par le chômage partiel : ils doivent pouvoir cotiser suffisamment, pour avoir droit à une indemnisation normale du chômage, en cas de licenciement.
Réactions des partenaires sociaux. L’organisation patronale MKB a vivement réagi mais la FNV et Alliés affirme s’être déjà mise d’accord avec le syndicat de cadres De Unie e
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