Cette proposition, défendue au Parlement par le député Eddy van Heijnum, du parti l’Appel démocrate chrétien (CDA), au pouvoir, est soutenue par les travaillistes. Les employeurs qui accepteraient de prendre ce risque n’auraient plus à cotiser à l’assurance chômage pour leurs nouvelles recrues pendant les six premiers mois de travail. Cependant, ils ne pourraient plus retourner au système antérieur, même en cas de restructuration. L’idée consiste à inciter les employeurs à prendre toutes les mesures préventives possibles, en amont du chômage. Si les entreprises formaient leurs salariés et leurs trouvaient un nouveau travail, elles réaliseraient des économies substantielles, selon le gouvernement. Elles pourraient aussi s’assurer contre ce risque, auprès d’institutions privées.
tructuration. L’idée consiste à inciter les employeurs à prendre toutes les mesures préventives possibles, en amont du chômage. Si les entreprises formaient leurs salariés et leurs trouvaient un nouveau travail, elles réaliseraient des économies substantielles, selon le gouvernement. Elles pourraient aussi s’assurer contre ce risque, auprès d’institutions privées.
Une proposition soumise aux partenaires sociaux. Il ne s’agit pas pour l’instant de faire de cette mesure une contrainte, mais un suj
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