Après les députés, le Conseil de l’Union européenne soutient à son tour le projet de règlement visant à interdire l’importation de produits issus du travail forcé. Le mandat de négociation des États membres diffère en revanche de celui du Parlement en proposant de faire peser la charge de la preuve sur les autorités compétentes et non sur les entreprises. De même, la création d’un réseau européen pour coordonner l’action des autorités nationales et le rôle renforcé de la Commission...
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