Une grève d’une seule journée. La grève, lancée dimanche soir par environ 4000 pilotes de Lufthansa, Lufthansa Cargo et Germanwings, devait être le plus grand mouvement social dans l’histoire de la compagnie arienne allemande et lui coûter près de 100 millions d’euros (v. dépêche nº 100152). Mais la pression exercée à la fois par la direction, l’opinion publique, les partis politiques, le Tribunal du travail de Francfort, mais aussi les pilotes des filiales étrangères de Lufthansa, aura finalement triomphé de la détermination des pilotes de Lufthansa. Après une seule journée de grève massive, marquée par l’annulation d’environ 45 % des vols, le syndicat Cockpit annonçait lundi 22 février au soir une levée de la grève jusqu’au 8 mars prochain. Juste avant, le Tribunal du travail de Francfort, saisi en référé par la direction de Lufthansa, avait exhorté les deux parties à reprendre au plus vite les négociations, sans se prononcer pour autant sur le caractère « disproportionné » et donc « illégal » de la grève (position défendue par Lufthansa).
ection, l’opinion publique, les partis politiques, le Tribunal du travail de Francfort, mais aussi les pilotes des filiales étrangères de Lufthansa, aura finalement triomphé de la détermination des pilotes de Lufthansa. Après une seule journée de grève massive, marquée par l’annulation d’environ 45 % des vols, le syndicat Cockpit annonçait lundi 22 février au soir une levée de la grève jusqu’au 8 mars prochain. Juste avant, le Tribunal du travail de Francfort, saisi en référé par la direction d
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