La fédération syndicale européenne souhaite que le nouveau groupe se dote « d’un système de dialogue social autonome et performant » et approfondisse le « dialogue social au niveau mondial, européen et national ». Elle demande aussi que le groupe garantisse « la liberté d’association » et reconnaisse le droit à la négociation collective sur tous les sites du groupe.
Participation au conseil d’administration. Alors qu’Arcelor a réservé trois sièges d’administrateur à des représentants des salarié
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