La Commission sur le salaire minimum, un organe où siègent 29 représentants issus du ministère du travail, des syndicats et des entreprises, a conclu le 28 juillet ses traditionnelles négociations de juillet. Les participants ont réitéré l’habitude acquise au cours des dernières années de ne pas étendre les tractations au-delà d’une journée. Le 27 avait lieu l’exposition des points de vue et exigences de chaque partie quant à l’augmentation de la rémunération de base. Le 28 se déroulaient les négociations proprement dites. Sans surprise, les partenaires sociaux sont tombés d’accord sur une hausse de 21 % du salaire minimum, qui s’élève de 1240 à 1500 pesos mensuels. Avant d’entamer les débats, les syndicats avaient affirmé que leurs revendications ne descendraient pas sous le seuil des 1500 pesos et les représentants du secteur privé avaient fixé le même montant comme limite maximale. Les négociations ont pourtant été qualifiées d’« acharnées » et d’«exténuantes » dans le mesure où les deux parties sont longuement restées bloquées sur leurs positions initiales : 1600 pesos demandés par les syndicats, 1400 pesos offerts par les entreprises.
Publication
31 juillet 2009 à 06h49
Mis à jour le 3 septembre 2019 à 14h16
Temps de lecture
2 minutes
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31 juillet 2009 à 06h49, Mis à jour le 3 septembre 2019 à 14h16
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ions ne descendraient pas sous le seuil des 1500 pesos et les représentants du secteur privé avaient fixé le même montant comme limite maximale. Les négociations ont pourtant été qualifiées d’« acharnées » et d’«exténuantes » dans le mesure où les deux parties sont longuement restées bloquées sur leurs positions initiales : 1600 pesos demandés par les syndicats, 1400 pesos offerts par les entreprises.
Opposition du syndicat indépendant. Les trois représentants de la Centrale des travailleurs ar
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