Suite à plusieurs conflits collectifs qui ont secoué l'aéroport de Charleroi et la menace de Ryanair, principal opérateur économique de l'aérogare, d'arrêter ses liaisons avec cette destination, les syndicats et le gouvernement wallon ont signé, le 24 août dernier, un « accord de paix sociale » qui met en place une obligation de négociation préalable à tout conflit et un délai minimum de préavis de grève. (Réf. 070703)
Le contexte. Suite à la grève des agents de sécurité de l’aéroport de Charleroi du 15 juin dernier, en réponse aux projets de restructuration des activités de sécurité de l’aéroport, Ryanair, son principal opérateur économique, a annoncé la suspension des réservations sur ses liaisons avec Charleroi. La direction de Ryanair, excédée par des grèves sauvages à répétition, a posé comme condition sine qua none à la reprise de ses activités, la mise en place d’une obligation de paix sociale ou d’un
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