Les 3500 métallurgistes de l’usine Renault de Curitiba, dans l’Etat de Parana (sud du Brésil), ont approuvé lundi 17 mai la poursuite de la grève déclarée le vendredi 14. Les travailleurs attendent une nouvelle proposition de la direction quant à l’augmentation de leurs primes. Juste avant d’entamer la grève, les syndicats ont rejeté la dernière offre du constructeur français d’octroyer une prime d’entre 6200 et 7500 reals (entre 2790 et 3375 euros) par employé en tant que participation aux bénéfices de l’entreprise. Les travailleurs réclament 9000 reals (4050 euros) de prime. Lors de son ultime proposition, Renault a retiré son exigence de production de 187 000 véhicules par an considérée comme « irréelle » par les syndicats. Du fait de la grève, environ 760 véhicules ont cessé d’être fabriqués chaque jour sur le site.
rime d’entre 6200 et 7500 reals (entre 2790 et 3375 euros) par employé en tant que participation aux bénéfices de l’entreprise. Les travailleurs réclament 9000 reals (4050 euros) de prime. Lors de son ultime proposition, Renault a retiré son exigence de production de 187 000 véhicules par an considérée comme « irréelle » par les syndicats. Du fait de la grève, environ 760 véhicules ont cessé d’être fabriqués chaque jour sur le site.
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