Le secteur de l’automobile qui signifie plus de 300 000 emplois directs et indirects représente entre 10 et 12% du PIB espagnol et 20% des exportations du pays. De l’aveu même du président du gouvernement Mariano Rajoy, il est l’un des rares domaines de l’économie à avoir apporté de bonnes nouvelles au pays ces derniers mois, même si, comme le rappellent les syndicats, 120 000 emplois ont été perdus depuis le 2008, essentiellement dans les industries auxiliaires, du fait de la baisse du volume de production.
ouvrières (CCOO). Il débouchera sur la création de 1300 postes de travail (et quelques 3600 dans les industries auxiliaires) et garantit de 10 ans d’activité pour les usines du pays. Renault est loin d’être le seul constructeur à miser sur l’Espagne. Il y a un mois, Ford, annonçait le transfert de la production de son usine de Genk en Belgique, vers le site d’Almussafes (près de Valence). PSA Peugeot Citroën a préféré investir dans ses installations de Vigo (en Galice) plutôt que dans son basti
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