Une gestion contestée. M. Diaz Ferrán avait espéré se maintenir au poste jusqu’à la fin de son mandat, en 2013. Mais sa position était devenue intenable. Il était remis en cause de plus en plus ouvertement au sein de la confédération, pour des problèmes liés aux difficultés du groupe économique qu’il dirige et qui ont débouché sur la mise en dépôt de bilan progressive au cours des six premiers mois de l’année de toutes les entreprises du Grupo Marsans, le conglomérat d’entreprises du tourisme qu’il avait fondé. Les choses se sont accélérées après la mise en dépôt de bilan, en juin dernier du dernier bastion, Viajes Marsans, agence de voyage emblématique du secteur touristique espagnol. Les déboires du groupe de M Diaz Ferrán ont figuré, durant des mois, à la une des journaux qui faisaient état d’une longue succession d’irrégularités, de salaires impayés, de factures non honorées et de clients abandonnés au bout du monde en pleines vacances de Noël 2009, après avoir eu la mauvaise idée d’acheter un billet d’avion Air Comet, la compagnie dont il était le président.
Publication
5 octobre 2010 à 06h57
Mis à jour le 26 mars 2013 à 21h39
Temps de lecture
3 minutes
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5 octobre 2010 à 06h57, Mis à jour le 26 mars 2013 à 21h39
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iajes Marsans, agence de voyage emblématique du secteur touristique espagnol. Les déboires du groupe de M Diaz Ferrán ont figuré, durant des mois, à la une des journaux qui faisaient état d’une longue succession d’irrégularités, de salaires impayés, de factures non honorées et de clients abandonnés au bout du monde en pleines vacances de Noël 2009, après avoir eu la mauvaise idée d’acheter un billet d’avion Air Comet, la compagnie dont il était le président.
Répercussion sur l’image de la CEOE.
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