Candido Mendez, secrétaire général de l’UGT et Ignacio Fernandez Toxo, son homologue des CCOO ont exprimé leur rejet de ce qu’ils appellent la « bancarisation » des caisses d’épargnes, dans un processus qui, selon eux, aura des conséquences « très négatives » sur l’emploi. Il s’agit selon M. Toxo d’une tentative « pour expulser la société civile du contrôle d’une partie substantielle du système financier espagnol » avec une modification « radicale » de la nature juridique des caisses. Le leader de CCOO a souligne qu’il était en faveur d’une restructuration du système financier mais qu’il s’oppose à « la privatisation de ce qui est le plus proche en Espagne d’un réseau bancaire public. » M. Mendez a, pour sa part, affirmé que la réforme supposera « la disparition des caisses d’épargne telles que nous les connaissons », puisqu’elles passeront à être des banques, et que le processus risque d’avoir des conséquences « très négatives sur l’emploi ».
cale » de la nature juridique des caisses. Le leader de CCOO a souligne qu’il était en faveur d’une restructuration du système financier mais qu’il s’oppose à « la privatisation de ce qui est le plus proche en Espagne d’un réseau bancaire public. » M. Mendez a, pour sa part, affirmé que la réforme supposera « la disparition des caisses d’épargne telles que nous les connaissons », puisqu’elles passeront à être des banques, et que le processus risque d’avoir des conséquences « très négatives sur
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