La question des salaires. Le principal écueil a été la question des augmentations de salaires. Les syndicats demandaient la continuité des accords actuels : l’ANC en vigueur préconise l’augmentation de 2% des salaires (selon les objectifs d’inflation de la BCE à l’automne 2008) ainsi qu'un pourcentage lié aux gains de productivité ou encore une clause de garantie de maintien du pouvoir d’achat en cas d’inflation supérieure aux prévisions. Pour le patronat, le schéma en vigueur jusqu’ici n’était plus adapté au « caractère exceptionnel » de la crise et il proposait un nouveau schéma d'augmentation salariale plafonnée à 2%, au vu des très faibles prévisions d’inflation corrigée.
de la BCE à l’automne 2008) ainsi qu’un pourcentage lié aux gains de productivité ou encore une clause de garantie de maintien du pouvoir d’achat en cas d’inflation supérieure aux prévisions. Pour le patronat, le schéma en vigueur jusqu’ici n’était plus adapté au « caractère exceptionnel » de la crise et il proposait un nouveau schéma d’augmentation salariale plafonnée à 2%, au vu des très faibles prévisions d’inflation corrigée.
Un leader patronal « maximaliste ». Les deux centrales...
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