plus, Boeing demandait à ses troupes une plus forte participation pour financer l’assurance santé. Et l’avionneur voulait remettre en cause le système classique des pensions de retraite pour les nouveaux embauchés. Objectif: ne plus s’engager sur un montant de retraite à verser tous les mois et remplacer ce système par la formule du 401K. L’entreprise paie alors régulièrement une certaine contribution et laisse au salarié le soin de gérer ses économies et de les faire prospérer. Les...
Etats-Unis : Boeing et le syndicat SPEEA retournent à la table des négociations
Mike Delaney, le négociateur de Boeing proposait des hausses annuelles de 2,5% à 3,5% pendant toute la durée de l'accord de 4 ans. Mais pour les syndicalistes, l'effort était insuffisant. “C'est la hausse la plus basse qu'on nous ait offerte depuis 1975” a expliqué Ray Goforth, le leader du syndicat SPEEA. Et les représentants du syndicat de souligner que l'accord actuel qui s'éteindra le 25 novembre comprend lui une hausse annuelle de 5% du salaire. Pour les cols blancs de Boeing, l'offre faite par la direction couvrait à peine la hausse du coût de la vie. En plus, Boeing demandait à ses troupes une plus forte participation pour financer l'assurance santé. Et l'avionneur voulait remettre en cause le système classique des pensions de retraite pour les nouveaux embauchés. Objectif: ne plus s'engager sur un montant de retraite à verser tous les mois et remplacer ce système par la formule du 401K. L'entreprise paie alors régulièrement une certaine contribution et laisse au salarié le soin de gérer ses économies et de les faire prospérer. Les syndicalistes estiment ces 401K beaucoup plus risqués.
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