Initiée par la sénatrice démocrate Barbara Mikulski, selon laquelle « les femmes sont furieuses et ne vont plus accepter ces inégalités », la proposition de loi n’avait pas l’approbation des républicains, qui disaient craindre une explosion de poursuites judiciaires contre les employeurs.
A moins de six mois de l’élection présidentielle, le projet de loi n’avait donc aucune chance de passer, mardi 5 juin, puisqu’il faut une majorité des trois cinquièmes pour contrer l’obstruction...