« En 2011, le taux de syndicalisation était de 11,8 %, à peu près inchangé par rapport aux 11,9 % de 2010 », a annoncé le ministère du Travail, le 27 janvier. Même si, dans le public (qui fournit désormais plus de la moitié des syndicalistes du pays), le taux de syndicalisation est passé de 36,2 à 37 %, le taux global ne progresse pas car, en réponse aux difficultés budgétaires, tous niveaux de gouvernement confondus, plus d’un demi million de postes de fonctionnaires a été supprimé en un an. Pendant ce temps, la part des salariés syndiqués dans le secteur privé se maintient elle à 6,9 %, du fait d’une hausse du taux de syndicalisation parallèle à celle de la masse salariale.
Publication
31 janvier 2012 à 15h21
Mis à jour le 25 mars 2013 à 13h50
Temps de lecture
2 minutes
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31 janvier 2012 à 15h21, Mis à jour le 25 mars 2013 à 13h50
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onnaires a été supprimé en un an. Pendant ce temps, la part des salariés syndiqués dans le secteur privé se maintient elle à 6,9 %, du fait d’une hausse du taux de syndicalisation parallèle à celle de la masse salariale.
Pour Richard Trumka, le président de plus grande confédération syndicale, l’AFL-CIO, « cela signifie que le pays commence à retrouver les emplois perdus pendant la grande récession. Les bons emplois défendus par les syndicats commencent à revenir ». Ainsi, même si la Floride...