Contrepartie à l'aide allemande. Le Comité d’entreprise européen de Général Motors continue d’afficher son unité. « Nous sommes un même corps et nous partageons la même douleur » déclare Klaus Franz, son président, à l’évocation des futures suppressions d’emplois chez Opel. Réuni les 8 et 9 septembre, le CE européen de GM a maintenu sa stratégie en faveur de la vente de la filière européenne du groupe, espérant préserver plus d’emplois en Europe. Annoncée le 10 septembre dernier, la vente d’Opel à l’équipementier russo-canadien Magna devrait toutefois déboucher sur 10 500 suppressions de postes en Europe. Quels seront les sites visés ? La Belgique, l’Espagne et la Hongrie ont d’ores et déjà exprimé leurs craintes que l’aide accordée par la Chancelière Angela Merkel, à quelques semaines des échéances électorales importantes en Allemagne, ait pour contrepartie la préservation des emplois du constructeur Opel en Allemagne au détriment des autres salariés du groupe en Europe. Opel emploie actuellement 25 000 personnes en Allemagne sur les 55 000 salariés que compte le groupe en Europe.
ostes en Europe. Quels seront les sites visés ? La Belgique, l’Espagne et la Hongrie ont d’ores et déjà exprimé leurs craintes que l’aide accordée par la Chancelière Angela Merkel, à quelques semaines des échéances électorales importantes en Allemagne, ait pour contrepartie la préservation des emplois du constructeur Opel en Allemagne au détriment des autres salariés du groupe en Europe. Opel emploie actuellement 25 000 personnes en Allemagne sur les 55 000 salariés que compte le groupe en Euro
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