différence des syndicalistes. En vertu de ces accords, l’employeur prélève sur le salaire directement une cotisation reversée aux syndicats, y compris pour les non-syndiqués. En dépit de l’incertitude juridique qui plane au-dessus de cette pratique, Unite continue d’engranger des accords de ce type dans les entreprises dans lesquelles il est bien implanté. Par Gregor Gall, Professeur de relations industrielles et Directeur de l’Unité de recherches sur le travail et l’emploi de l’Université...
Grande-Bretagne : le syndicat Unite développe sa pratique des « fair share agreements » en dépit de l’incertitude juridique qui pèse sur ces accords
Les avantages les plus clairs pour les « free riders » sont les augmentations salariales qui découlent de la négociation collective, car les employeurs n’ont pas le droit de faire une différence entre les travailleurs syndiqués et les autres. Les chiffres annuels publiés par le gouvernement estiment que le nombre de travailleurs concernés est stable, autour d’1 million, depuis une dizaine d’années.
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