pour peser dans les négociations avec l’employeur. Par conséquent, le nombre de journées perdues et de travailleurs concernés est relativement faible, mais les mouvements sont particulièrement « efficaces ». A l’intérieur de cette catégorie, la logistique est en train de prendre de l’ampleur. La raison en est simple : la pression du client sur la livraison des produits est telle que l’entreprise de transport ne peut se permettre un conflit qui risquerait de la retarder. Par Gregor Gall,...
Grande-Bretagne : les conflits sociaux dans le secteur des transports et de la logistique se développent
De nos jours, très peu d’entreprises livrent elles-mêmes leurs produits ; elles sous-traitent ces activités à des prestataires spécialisés après un appel d’offre local. La grève organisée par les chauffeurs de camions citerne plus tôt dans l’année montre que ni les raffineries ni les détaillants n’avaient leurs propres véhicules ; en effet, la colère des chauffeurs était dirigée contre l’employeur qui avait augmenté leur rythme de travail, avec des conséquences négatives sur la sécurité.
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