La CGIL divisée en deux. Les désaccords politiques déjà évidents lors de la conférence d’organisation de mai 2008 (v. dépêche N° 080456) ont gagné de l’ampleur au sein de la plus grande confédération syndicale italienne. Ainsi, lors de la première session de son comité de direction - qui s’est tenue à Rome le 9 e 10 novembre en vue de préparer le prochain congrès prévu à Rimini du 5 au 8 mai 2010 - deux motions ont été présentées. L’une provient de la majorité, signée par l’actuel leader Guglielmo Epifani, et l’autre d’une minorité qui unit toutefois les leaders des deux principaux secteurs, la métallurgie et la fonction publique, soit Gianni Rinaldini et Carlo Podda, le leader du secteur bancaire, Domenico Moccia, mais aussi Giorgio Cremaschi, le leader de l’aile gauche, et une réformiste comme Nicoletta Rocchi, la seule secrétaire confédérale à ne pas avoir signé la motion de la majorité.
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Le droit et le travail au-delà de la crise. C’est le titre éloquent du premier programme qui vise à « r
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