Plus de 100 000 personnes auraient participé, selon la CGIL, à la manifestation nationale qui s’est tenue à Rome le 14 novembre – sous la bannière « Le travail et la crise : nous exigeons des réponses » - pour demander au gouvernement de prendre des mesures adéquates pour lutter contre les effets de la crise sur l’emploi. Cette manifestation conclut les quatre semaines de rassemblement organisés par la CGIL dans les quatre importantes places de Rome, où se sont succédés les délégués des travailleurs en lutte des diverses régions italiennes. Le leader de la CGIL, Guglielmo Epifani, a souligné que les effets les plus graves de la crise sur l’emploi seront visibles dès les prochaines semaines avec la multiplication des restructurations, licenciements, fermetures des entreprises frappées par la crise. Même si la reprise se confirme, il faudra au moins 6-7 ans, selon lui, avant de voir ses effets positifs sur l’emploi. M. Epifani a rappelé que cette dernière année, 570 000 postes ont disparu, dont 300000 emplois précaires. Réitérant les propositions de la CGIL, qui réclame « une vraie politique industrielle » et des investissements dans l’innovation et la recherche (v. dépêche N° 090900), il a accusé le gouvernement qui « ne fait rien » pour contrer les graves effets de la crise sur l’emploi.
crise. Même si la reprise se confirme, il faudra au moins 6-7 ans, selon lui, avant de voir ses effets positifs sur l’emploi. M. Epifani a rappelé que cette dernière année, 570 000 postes ont disparu, dont 300000 emplois précaires. Réitérant les propositions de la CGIL, qui réclame « une vraie politique industrielle » et des investissements dans l’innovation et la recherche (v. dépêche N° 090900), il a accusé le gouvernement qui « ne fait rien » pour contrer les graves effets de la crise sur l’
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