Une politique gouvernementale « inadéquate ». Réunie à Rome le 30 septembre la direction nationale de la CGIL a qualifié d’« inadéquate » la loi de finances présentées aux partenaires sociaux. Est surtout visé le fait que le financement des mesures gouvernementales contre la crise y soit lié aux ressources générées par le très controversé « bouclier fiscal », ajouté au décret correctif de la loi anti-crise approuvé la semaine dernière suite au vote de confiance du Parlement (le 25ème en 17 mois de gouvernement). Le « bouclier » prévoit des facilités pour le retour en Italie des capitaux « exportés illégalement » avec une amende égale à 5% des sommes déclarées et la garantie de l’anonymat des détenteurs de ces capitaux. Une mesure que la CGIL considère comme « honteuse » compte tenu de l’impunité qu’elle garantit aux coupables de divers délits. Soulignant que l’Italie est le dernier parmi les pays du G20 pour les ressources engagées dans les mesures anti-crise, « à peine 1% sur le total des dépenses », la CGIL prévient que, sans des mesures adéquates, la crise de l’emploi s’aggravera ultérieurement et le taux de chômage pourrait atteindre le 10,5% prévus par l’OCDE en 2010.
qu’elle garantit aux coupables de divers délits. Soulignant que l’Italie est le dernier parmi les pays du G20 pour les ressources engagées dans les mesures anti-crise, « à peine 1% sur le total des dépenses », la CGIL prévient que, sans des mesures adéquates, la crise de l’emploi s’aggravera ultérieurement et le taux de chômage pourrait atteindre le 10,5% prévus par l’OCDE en 2010.
Les revendications de la CGIL. Le plus grand syndicat italien exige donc un changement de cap urgent, revendiqua
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