« L’UGL avance avec dévouement et humilité dans les grandes et petites négociations, sans se sentir inférieure, forte d’une croissance de 14,7% en 2010 ». C’est soulignant ce « résultat extraordinaire » que le leader actuel de l’UGL, Giovanni Centrella, a présenté la clôture des célébrations du 60e anniversaire de sa confédération qui se tiendront cet après-midi à Naples. L’UGL est issue de la Confédération italienne des syndicats nationaux des travailleurs, la Cisnal - fondée le 24 mars 1950 à Naples par le député du parti de la « Droite nationale », le Mouvement social italien (MSI), Gianni Roberti, et les deux syndicalistes Giuseppe Landi et Ugo Clavenzani qui rejetaient « l’idéologie de la lutte des classes à l’époque majoritaire dans le monde syndical » et prônaient « la participation des travailleurs au gouvernement général de l’économie et aux responsabilités de la gestion de l’entreprise, nécessaire pour augmenter au maximum la production et pour un partage plus juste des revenus ».
Publication
24 mars 2011 à 14h41
Mis à jour le 25 mars 2013 à 18h02
Temps de lecture
4 minutes
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24 mars 2011 à 14h41, Mis à jour le 25 mars 2013 à 18h02
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la lutte des classes à l’époque majoritaire dans le monde syndical » et prônaient « la participation des travailleurs au gouvernement général de l’économie et aux responsabilités de la gestion de l’entreprise, nécessaire pour augmenter au maximum la production et pour un partage plus juste des revenus ».
De la Cisnal à l’UGL. La Cisnal débuta avec 46 fédérations et 78 unions provinciales, devenant dans la période 1956-59 la 4e confédération italienne. Après avoir participé aux grandes négociati
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