La réunion du comité dirigeant national de la CGIL a ratifié les deux motions en lice pour le prochain congrès national de la confédération (v. dépêche n°091036). 144 sur 177 membres du comité dirigeant national de la CGIL, soit 81,36%, ont adhéré au document « Les droits et le travail au-delà de la crise », dont l’actuel secrétaire général, Guglielmo Epifani, est le premier signataire. Tandis que les 33 membres restants ont signé le document « La CGIL que nous voulons », la motion défendue par Domenico Moccia, le leader de la Fisac (Banques et assurances), mais également signé par les leaders de la Fiom et de la FP (Fonction publique). C’est la première fois dans l’histoire de la CGIL que le texte de la motion d’opposition est signé par les secrétaires de deux grandes catégories.
membres restants ont signé le document « La CGIL que nous voulons », la motion défendue par Domenico Moccia, le leader de la Fisac (Banques et assurances), mais également signé par les leaders de la Fiom et de la FP (Fonction publique). C’est la première fois dans l’histoire de la CGIL que le texte de la motion d’opposition est signé par les secrétaires de deux grandes catégories.
Le conflit apparaît au grand jour. L’existence de ces deux programmes dévoile au public le conflit interne de la CG
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