« Nous sommes fières d’avoir élu une femme comme guide de la CGIL » a déclaré Morena Piccinini, la présidente de l'institut de patronage de la CGIL, l'INCA, ce matin au Teatro Quirino de Rome donnant le ton à la fête pour saluer le départ de Guglielmo Epifani et l’arrivé historique de Susanna Camusso, élue mercredi 3 novembre à la tête de la plus grande confédération syndicale italienne (près de 6 millions de membres). La nouvelle secrétaire générale porte un programme politique dans la continuité « réformiste », en opposition ouverte à la « dégradation éthique, morale, institutionnelle » du pays qui, souligne-t-elle, « ne mérite pas ce gouvernement ». S’engageant à poursuivre le renouvellement de la confédération pour parvenir à la parité de tous les organismes exécutifs, son programme est inspiré de sa pratique féministe car « la condition des femmes » reste «la vraie mesure de la démocratie d’un pays », a-t-elle souligné.
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L’union interne. Misant sur la « démocratie interne », la « solidarité ré
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