« Nous avons confirmé que la négociation est l’objet de l’autonomie des parties et non pas du gouvernement ». La leader de la CGIL, Susanna Camusso, a résumé ainsi le résultat de la réunion de ce matin au siège de Confindustria, pour la ratification de l’accord du 28 juin dernier sur la représentativité syndicale et la portée des accords d’entreprise (v. dépêche n° 110443), conclu avec l’association patronale et les confédérations syndicales. Mme Camusso a obtenu des ceux-ci « l’engagement formel qu’ils appliqueront l’accord du 28 juin », condition sine qua non pour que son organisation ratifie l’accord interconféderal, ratification qui avait été remise en question après l’adoption de l’article 8 dans le dernier plan de rigueur du gouvernement (v. dépêches n° 110545), qui permet à la négociation locale de déroger par rapport aux conventions collectives nationales et aux lois.
Publication
21 septembre 2011 à 14h26
Mis à jour le 25 mars 2013 à 15h49
Temps de lecture
3 minutes
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21 septembre 2011 à 14h26, Mis à jour le 25 mars 2013 à 15h49
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Mme Camusso a obtenu des ceux-ci « l’engagement formel qu’ils appliqueront l’accord du 28 juin », condition sine qua non pour que son organisation ratifie l’accord interconféderal, ratification qui avait été remise en question après l’adoption de l’article 8 dans le dernier plan de rigueur du gouvernement (v. dépêches n° 110545), qui permet à la négociation locale de déroger par rapport aux conventions collectives nationales et aux lois.
L’accord d’application. La signature définitive de la C
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