Une grève nationale le 24 juin. Un plan industriel « sérieux » pour la relance du secteur, la sauvegarde de la production et des emplois, et « l’ouverture immédiate » d’une négociation avec les partenaires sociaux : telles sont les principales revendications qui ont été adoptées à l’unanimité par les trois syndicats, Filcem-CGIL, Femca-Cisl, Uilcem-Uil, réunis le 27 mai dernier à Rome, avec les Représentations syndicales unitaires (RSU) des entreprises des secteurs chimie et pharmacie. À l’issue de cette réunion, les syndicats ont proclamé une grève nationale de huit heures pour le 24 juin avec trois rassemblements. Les deux premiers auront lieu à Rome, l’un devant la présidence du Conseil et l’autre devant la direction générale du groupe Eni. Le troisième sera organisé à Milan devant le siège de l'organisation patronale, Federchimica.
éunis le 27 mai dernier à Rome, avec les Représentations syndicales unitaires (RSU) des entreprises des secteurs chimie et pharmacie. À l’issue de cette réunion, les syndicats ont proclamé une grève nationale de huit heures pour le 24 juin avec trois rassemblements. Les deux premiers auront lieu à Rome, l’un devant la présidence du Conseil et l’autre devant la direction générale du groupe Eni. Le troisième sera organisé à Milan devant le siège de l’organisation patronale, Federchimica.
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