Une « réforme destinée à marquer jusqu’à la Constitution matérielle du pays », c’est ainsi que le ministre du Travail, Maurizio Sacconi, a présenté dans sa lettre aux partenaires sociaux, jeudi 11 novembre, son projet de loi qui achève la réforme gouvernementale du droit du travail italien. Le but ? Dépasser la loi 300/1970, le quadragénaire « Statut des travailleurs », qui « ralentit le dynamisme du processus productif et l’organisation du travail » sans donner « de vrais certitudes aux travailleurs », pour adapter la législation aux mutations du monde du travail avec un « système de protection moderne ». De la sorte, afin « d’encourager l'embauche et une meilleure adaptation entre les besoins du travail et celui de l’entreprise », l’article 1 du projet loi donne mandat au gouvernement de promulguer, dans les 12 mois suivant l’entrée en vigueur de la loi, « un ou plusieurs décrets-loi » contenant les dispositions pour la rédaction d’un texte unique de réglementation en matière de travail : le « Statut des travaux ».
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La « simplification » du droit du travail. Selon le ministre, « près de
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