La reprise du dialogue. « La CGIL est un grand syndicat. Dans cette période de crise difficile, il faut faire prévaloir les choses qui nous unissent sur celles qui nous divisent ». C’est avec ces mots que la présidente de la Confindustria, Emma Marcegaglia a tendu la main à la CGIL, l’appelant à participer à l’élaboration d’un « projet-pays » pour affronter la crise. Répliquant qu’« il convient à tous d’affronter la crise plus unis », le leader de la CGIL Guglielmo Epifani a dit attendre « des faits après les mots ». Il a souhaité notamment que « Confindustria fasse des pas en avant » sur l’accord séparé sur la reforme du modèle conventionnel (v. dépêche N°090728). Cet échange public, suivi d’un entretien privé, a été perçu comme un signal fort au niveau national. Selon le quotidien Corriere della Sera, les autres confédérations, Cisl et Uil, qui ont l’intention de défendre « coûte que coûte » l'application du nouveau modèle conventionnel, ont été surprises par l’ouverture de la Confindustria.
té notamment que « Confindustria fasse des pas en avant » sur l’accord séparé sur la reforme du modèle conventionnel (v. dépêche N°090728). Cet échange public, suivi d’un entretien privé, a été perçu comme un signal fort au niveau national. Selon le quotidien Corriere della Sera, les autres confédérations, Cisl et Uil, qui ont l’intention de défendre « coûte que coûte » l’application du nouveau modèle conventionnel, ont été surprises par l’ouverture de la Confindustria.
Les raisons de l’ouvertu
…Vous lisez cet article grâce à votre abonnement.
Explorez de nouveaux horizons en consultant nos autres verticales :
Vous avez une information à nous partager ?