À l’issue de leur réunion qui s’est tenue du 11 au 13 septembre en Italie, les ministres du Travail du G7 ont signé une déclaration commune centrée notamment sur l’intelligence artificielle. Elle contient un plan d’action qui propose des pistes, en matière de formation, de dialogue social, d’automatisation ou de santé et sécurité, pour accroître son potentiel et limiter les risques.
Les ministres du Travail du G7 (Allemagne, Canada, États-Unis, France, Italie, Japon et Royaume-Uni) reconnaissent l’apport potentiel de l’IA pour accroître la productivité, améliorer les conditions de travail et créer des emplois mais insistent sur l’importance des droits sociaux dans ce cadre, notamment pour les populations “vulnérables”. Le plan d’action associé entend supprimer, prévenir et atténuer les dommages que peut causer l’IA, notamment en matière de disparités de genre, de...
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