Le 14 avril dernier, le Premier ministre annonçait, après plusieurs mois de négociations tripartites, un accord autorisant le licenciement sans préavis (en échange d'une double indemnité pour l'employé), les contrats à durée déterminée pour tout type d'emploi nouvellement créé (y compris pour ceux correspondant à un besoin permanent de l'entreprise) et la modulation du temps de travail, jusqu'à l'annualisation, avec le maintien des limites actuelles exceptionnelles de 12 heures quotidiennes et des 48 heures hebdomadaires (contre une durée légale de respectivement 8 et 40 heures) ainsi que des 120 heures supplémentaires par an. Mais les syndicats ont immédiatement démenti, empêchant ainsi l'adoption rapide de ces amendements au code du Travail (v. dépêche n°100331).
s préavis (en échange d’une double indemnité pour l’employé), les contrats à durée déterminée pour tout type d’emploi nouvellement créé (y compris pour ceux correspondant à un besoin permanent de l’entreprise) et la modulation du temps de travail, jusqu’à l’annualisation, avec le maintien des limites actuelles exceptionnelles de 12 heures quotidiennes et des 48 heures hebdomadaires (contre une durée légale de respectivement 8 et 40 heures) ainsi que des 120 heures supplémentaires par an. Mais l
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