Le gouvernement, le patronat et l'UGT ont signé, le 25 juin, le texte qui doit servir de base à la réforme du code du travail de 2003. La confédération syndicale CGTP n'a pas pris part au dernier round de la concertation sociale. L'accord contient notamment des mesures de lutte contre la précarité du travail et permet à l'entreprise de bénéficier d'un volume d'heures qu'elle pourra gérer de manière flexible. En revanche, le licenciement pour non adaptabilité du travailleur, demandé par le patronat, a été rejeté. (Réf. 080538)
L’accord signé le 25 juin 2008 met fin à d’intenses négociations qui ont duré six semaines (du 22 avril au 4 juin, suivies de réunions bilatérales). Face à des menaces inattendues de l’UGT (proche du PS, parti gouvernemental) de rompre les négociations, le gouvernement a accepté de faire des concessions de dernière minute. Sans toutefois éviter la rupture avec la CGTP qui a estimé que les conditions n’étaient pas réunies pour analyser en 24 heures un texte juridique de 33 pages. La centrale syn
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