Selon Siegfried Russwurm, DRH de Siemens, l’accord signé répond à un double objectif. D’une part, le groupe, qui emploie environ 5000 travailleurs handicapés en Allemagne, soit 4 % de ses effectifs, entend remplir ainsi ses engagements en tant qu’entreprise « socialement responsable ». D’autre part, le géant allemand de l’électronique souhaite s’attaquer à un problème grandissant : celui de la pénurie de main-d'œuvre qualifiée. 1500 postes sont aujourd’hui vacants chez Siemens en Allemagne, qui recherche essentiellement des techniciens et des ingénieurs. « Nous manquons en Allemagne de techniciens et d’ingénieurs et ce problème va s’amplifier à l’avenir. C’est pourquoi nous devons nous demander : où pouvons-nous encore trouver des personnes à haut potentiel ? », explique le DRH, avant d’ajouter :« Il existe de nombreuses personnes très talentueuses parmi les gens handicapés. Nous voulons tout simplement recruter les meilleurs ».
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