L’accord conclu le 2 avril entre Teknikarbetsgivarna (organisation patronale des entreprises technologiques) et ses homologues syndicaux Unionen (syndicat des cols blancs), Sveriges Ingenjörer (syndicat des ingénieurs de suède) et IF Metall (syndicat des travailleurs de la métallurgie) reprend l’augmentation des salaires de 6,8 % sur 3 ans décidée dans l’industrie mais en prenant en compte pour une grande part les compétences. Il donne également aux entreprises une plus grande flexibilité dans l’organisation du travail et les négociations salariales. L’accord s’applique du 1er avril 2013 au 31 mars 2016 et concerne 300 000 salariés dans des sociétés comme Volvo, Ericsson, Sandvik (ingénierie), LKAB (industrie minière) ou Astrazeneca (pharmacie). (Réf. 130401)
Une plus grande flexibilité dans la durée du travail. C’est l’avancée dont se félicite le plus Anders Weihe, responsable des négociations pour Teknikarbetsgivarna car, avec cet accord, les employeurs peuvent davantage faire varier les heures de travail même sans le consentement des syndicats. « Il s’agissait d’une de nos priorités », explique-t-il, « il est naturel que les employeurs puissent augmenter la flexibilité ». 3 éléments ont été modifiés dans ce sens :
1/ Ils ont diminué de 12 minutes
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