Jeudi 7 mai, les représentants de la troïka, le président de l’exécutif européen José Manuel Barroso et les partenaires sociaux européens ont tenté de faire bonne figure. Et ce en dépit des prévisions catastrophiques dévoilées lundi par la Commission européenne (11.9% de taux de chômage dans la zone euro en 2010). La rencontre, qualifiée en coulisses de « non événement » a permis de valider une série de lignes directrices devant permettre de mieux coordonner l’action des Vingt Sept, de l’UE et des partenaires sociaux sur la question de l’emploi.
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Jeudi 7 mai, les représentants de la troïka, le président de l’exécutif européen José Manuel Barroso et les partenaires sociaux européens ont tenté de faire bonne figure. Et ce en dépit des prévisions catastrophiques dévoilées lundi par la Commission européenne (11.9% de taux de chômage dans la zone euro en 2010). La rencontre, qualifiée en coulisses de « non événement » a permis de valider une série de lignes directrices devant permettre de mieux coordonner l’action des Vingt Sept, de l’U
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