Débutées en février 2006, les négociations sur le harcèlement et la violence au travail entamées entre le patronat européen (Unice et CEEP) et la Confédération européenne des syndicats (CES) ont achoppé sur la question de la violence exercée sur les salariés par les tiers à l'entreprise. Ce blocage pourrait être dépassé. Le compromis élaboré pour cela reconnaît que le tiers peut-être à l'origine de violences professionnelles mais ne prévoit l'application de certains dispositions de l'accord que dans les cas où cela sera appropriée. (Réf. 070064)
Pour la Confédération européenne des syndicats (CES), il était hors de question de ne pas inclure dans le champ de la négociation les faits de violence ou de harcèlement commis par des personnes extérieures à l’entreprise, un de ses objectifs depuis le début des négociations. Du côté de l’Unice, les négociateurs n’avaient pas le mandat pour se saisir de cette question, mais certaines fédérations patronales y étant favorables, ils ont finalement élargi la négociation aux tiers mais en contrepart
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