Dans ce document, reconnaissant les normes internationales de l'Organisation internationale du Travail et la Déclaration des droits de l'Homme des Nations Unies, le groupe s'engage à respecter les conditions de travail et de santé, à améliorer ses normes environnementales et la formation des travailleurs. Il promet aussi de veiller à faire respecter les normes internationales du travail dans ses relations avec ses sous-traitants. Le nouvel accord mondial ne modifie le premier qu'à la marge. Les syndicats font un bilan positif des premières années d'application de l'accord. Un comité paritaire avait été créé pour veiller à son exécution. Le groupe belge, ex-Union Minière, est installé dans une trentaine de pays. Depuis 2007, les représentants des fédérations syndicales internationales et du CE européen ont participé à des missions en Chine, au Brésil, en Afrique du Sud et aux États-Unis où ils ont rencontré des membres du management local et des syndicats pour constater que les dispositions de l'accord mondial étaient bien respectées. L'accord est renouvelé pour 4 ans.
e belge, ex-Union Minière, est installé dans une trentaine de pays. Depuis 2007, les représentants des fédérations syndicales internationales et du CE européen ont participé à des missions en Chine, au Brésil, en Afrique du Sud et aux États-Unis où ils ont rencontré des membres du management local et des syndicats pour constater que les dispositions de l’accord mondial étaient bien respectées. L’accord est renouvelé pour 4 ans.
Planet Labor, 20 septembre 2011, nº 110557 – www.planetlabor.com
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