8000 salariés en attente. L’absorption de 76 entreprises du secteur des hydrocarbures par la compagnie pétrolière d’Etat vénézuélienne PDVSA, qui emploie déjà plus de 74.000 personnes, laisse en suspens le sort de près de 8000 travailleurs pétroliers. Or, le processus de nationalisation mis en oeuvre depuis début mai par le gouvernement d’Hugo Chávez était censé inclure un transfert intégral du personnel de ces petites entreprises privées vers le géant public. Jusqu’au 3 juin, seuls 668 travailleurs avaient été réengagés, comme l’a reconnu le ministre du Pétrole, Rafael Ramirez. Le 9 juin, 600 contrats supplémentaires ont été formalisés. Le ministre a réitéré la promesse de réembaucher chacun des 8000 travailleurs issus des entreprises nationalisées, au rythme de 1000 par semaine. La nationalisation de ces sociétés, amenées à former un consortium avec PDVSA, s’inscrit dans le cadre de la loi approuvée début mai par le parlement vénézuélien, un texte qui accorde à l’Etat le contrôle total des activités pétrolières dans le pays.
étrole, Rafael Ramirez. Le 9 juin, 600 contrats supplémentaires ont été formalisés. Le ministre a réitéré la promesse de réembaucher chacun des 8000 travailleurs issus des entreprises nationalisées, au rythme de 1000 par semaine. La nationalisation de ces sociétés, amenées à former un consortium avec PDVSA, s’inscrit dans le cadre de la loi approuvée début mai par le parlement vénézuélien, un texte qui accorde à l’Etat le contrôle total des activités pétrolières dans le pays.
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