La coordination syndicale européenne d'Alcatel Lucent s'est réunie, le 1er mars 2007, sous l'égide de la Fédération européenne des métallurgistes (FEM) suite à l'annonce de suppressions d'emplois dans le groupe, le 9 février dernier. Ce plan de restructuration « constitue un signe préoccupant pour l'emploi hautement qualifié en Europe », juge la FEM. (Réf. 070191)
De façon assez inhabituelle, la FEM dénonce les « licenciements boursiers » en jugeant que « l’augmentation de 40% des suppressions d’emplois envisagées en 2006, signifie que pour la direction centrale, l’emploi salarié doit être directement indexé sur l’activité à court terme et le cours de Bourse ». « Pour les salariés, poursuit la FEM, ce plan est synonyme de chômage pendant que les actionnaires ont droit au versement d’un solide dividende et que les dirigeants s’octroient des salaires exorb
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