D’importants « coûts restants ». Selon une porte-parole de l’équipementier, interrogée par Planet Labor, cet accord devrait permettre à l’entreprise, durement affectée par la crise, de réduire ses coûts et maintenir ses effectifs. Car même si les mesures de chômage partiel sont largement subventionnées par l’Agence fédérale pour l’Emploi, qui prend à sa charge entre 60 et 67 % du salaire net et l’intégralité des cotisations sociales après six mois de chômage partiel (ce qui est le cas chez Bosch), l’entreprise a des « coûts restants » importants, atteignant chez Bosch environ 26 % du taux horaire (v. dépêche nº090947). « Pendant cette période, nous continuons à payer entièrement les primes de Noël et de congés », explique la porte-parole. L’accord prévoit des réductions des salaires annuels allant de 1 à 1,5 % et exclut en contrepartie tout licenciement pour motif économique jusqu’à fin 2010. Il s’appliquera à l’ensemble des 12 000 salariés de l’usine de Stuttgart-Feuerbach et même à ceux dont la durée du temps de travail a déjà été réduite de 35 à 32,5 heures par semaine, avec baisse équivalente des salaires, dans le cadre d’un accord d’entreprise. « Il s’agit d’une contribution de solidarité », souligne la porte-parole, rappelant que l’alternative aurait consisté à licencier du personnel.
et de congés », explique la porte-parole. L’accord prévoit des réductions des salaires annuels allant de 1 à 1,5 % et exclut en contrepartie tout licenciement pour motif économique jusqu’à fin 2010. Il s’appliquera à l’ensemble des 12 000 salariés de l’usine de Stuttgart-Feuerbach et même à ceux dont la durée du temps de travail a déjà été réduite de 35 à 32,5 heures par semaine, avec baisse équivalente des salaires, dans le cadre d’un accord d’entreprise. « Il s’agit d’une contribution de sol
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