Pour la deuxième année consécutive, la création d’un salaire minimum universel a été l’une des revendications centrales de la Confédération des syndicats allemands lors des manifestations du 1er mai. Mais à défaut d’espérer l’obtenir à brève échéance, Michael Sommer, patron du DGB, a pu au moins appuyer ses revendications sur des faits concrets, c’est-à-dire la signature toute fraîche d’un nouvel accord collectif dans l’intérim, incluant la création d’un salaire minimum partiel. Vendredi 30 avril, le DGB a en effet signé un tel accord avec l’iGZ, l’une des trois fédérations patronales du secteur allemand de l’intérim. Les deux autres fédérations ont déjà négocié des accords similaires en février 2010, entre la Confédération des syndicats chrétiens (CGB) et la Fédération patronale des PME de l’intérim (v. dépêche nº 100149) et en mars, entre l'Union fédérale des entreprises d'intérim (BZA) et le DGB (v. dépêche n° 100216).
année consécutive, la création d’un salaire minimum universel a été l’une des revendications centrales de la Confédération des syndicats allemands lors des manifestations du 1er mai. Mais à défaut d’espérer l’obtenir à brève échéance, Michael Sommer, patron du DGB, a pu au moins appuyer ses revendications sur des faits concrets, c’est-à-dire la signature toute fraîche d’un nouvel accord collectif dans l’intérim, incluant la création d’un salaire minimum partiel. Vendredi 30 avril, le DGB a en e
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