La Cour suprême a précisé ce cadre légal en vertu du cas « Orellano », un employé du Correo Oficial de la Republica Argentina (équivalent de La Poste), licencié pour avoir organisé et participé à des « mesures de force » sur son lieu de travail sans l’aval des syndicats représentants les employés. « Dans les motifs de licenciement l’entreprise indique que ces mesures de force ont consisté en la tenue, dans un laps de temps de deux semaines, de différentes ‘réunions sur le lieu de travail et...
Argentine : les syndicats ont le « monopole » de la grève
Seules les organisations syndicales peuvent décider d'une grève et de "mesures de force" sur le lieu de travail. Voilà ce qu'a décidé la Cour suprême argentine le mois dernier, mettant fin à une ambiguïté qui s'était installée dans la législation ces dernières années.
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