uis celle de plus de 100 travailleurs la deuxième année, et enfin, l’ensemble du secteur privé. Un conseil de surveillance, dépendant du ministère du Travail, sera chargé de désigner à partir de quel niveau minimum de bénéfices une entreprise doit répartir ses gains. L’idée que les travailleurs bénéficient d’une une partie des rentrées économiques de leurs employeurs est issue d’une clause inclue dans la Constitution argentine en 1957.
Répartition proportionnelle aux salaires, directeurs exclus.
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